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Analyse du film : Exploration de l’union entre l’homme, le chien et les péripéties dans « Arthur le Roi »

Le nouveau film de Mark Wahlberg, « Arthur le Roi », est une adaptation cinématographique d’une affiche inspirante en classe. Cela signifie qu’il est bon et a quelque chose d’intéressant à dire, mais pour la plupart, il reste plutôt générique – une histoire d’outsider qui suit les rythmes attendus.

Wahlberg joue le rôle de Michael, un coureur d’aventure qui n’a pas encore remporté de compétition. Au début du film, il est coincé dans la boue avec son équipe lors d’une course, incapable de la terminer. Trois ans plus tard, il travaille pour son père et vit avec son ancienne épouse et leur fille. Michael ne peut pas se remettre du fait qu’il n’a jamais gagné et décide de trouver des sponsors pour prouver sa grandeur.

Le film est basé sur une histoire vraie, celle du coureur Mikael Lindnord, et sur son livre « Arthur : le chien qui traversait la jungle pour trouver une maison ». Oui, il y a un chien impliqué, mais il ne devient réellement partie intégrante de l’histoire qu’après environ 45 minutes. Le réalisateur et le monteur essaient de montrer des images du chien lorsqu’il erre dans les rues, mais le film ne semble vraiment commencer que lorsque le chien et Michael se rencontrent.

Malheureusement, malgré son aspect aventure, le film manque de personnalité et semble superficiel. Les clichés du récit de voyage en République dominicaine et la partition sans originalité ne suffisent pas à donner du relief au film. De plus, les personnages féminins sont peu développés. Helena, l’épouse de Michael, est simplement une « épouse au téléphone » qui apparaît principalement pour lire des articles sur Michael. Leur fille est mignonne, mais elle ne fait que quelques actions mignonnes liées à son père avant de disparaître en arrière-plan.

Bien qu’il y ait une séquence tendue avec une tyrolienne cassée, les moments d’aventure ne sont pas très marquants. Même les plaisanteries entre les membres de l’équipe ne sont pas particulièrement mémorables ou amusantes. Le film se contente d’enchaîner les points de contrôle tout au long de ce voyage de 435 milles, tandis que Michael se lie de plus en plus avec le chien et se soucie de moins en moins de la victoire.

Finalement, le chien devient central dans la conclusion de la course, et c’est là que le film essaie d’émouvoir. Michael admet qu’il n’a jamais été un amateur de chiens, mais que cette expérience lui a permis de trouver du réconfort et de créer une fondation pour le bien-être animal.

Le film « Arthur le Roi », distribué par Lionsgate, est classé PG-13 pour « un langage fort » et dure 90 minutes. Dans l’ensemble, le film est un peu décevant, même s’il pourra attirer l’attention sur la Fondation Arthur.

Cet article est généré à partir d’un flux automatisé d’une agence de presse et n’a pas été modifié.

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