Aaron Moten révèle que chaque jour de tournage de la série Fallout sur Prime Video était un nouveau challenge

La dernière franchise de jeux vidéo à bénéficier d’une adaptation en action réelle n’est autre que Fallout d’Amazon Prime Video. Le développement de cette série a vu la collaboration des développeurs du jeu bien-aimé avec une équipe de production talentueuse, bien qu’il n’ait pas été évident de donner vie à ces biomes et créatures.

La magie du cinéma moderne réside en partie dans la technologie de pointe qui permet d’accentuer ce qui a été créé à la main, bien que cela puisse parfois sembler insolite. La conception d’une production requiert beaucoup d’efforts : ceux qui sont en charge de ce département sont responsables de l’apparence de chaque aspect, ce qui est d’autant plus critique pour une adaptation de jeu vidéo dont les fans peuvent être très exigeants.

L’acteur Aaron Moten revient sur son expérience et sur les difficultés rencontrées par les cinéastes pour équilibrer les effets pratiques avec ceux engendrés par la réalité. Fallout de Prime Video, pour lequel il interprète Maximus aux côtés d’Ella Purnell (Lucy), semble visuellement très fidèle à l’original.

Une ambiance post-apocalyptique n’est pas une rareté dans le monde des médias. Beaucoup de films, séries télévisées et jeux vidéo parviennent à recréer de manière convaincante l’aspect désolé de l’Apocalypse. La bande-annonce officielle a rassuré les fans : l’équipe de production a saisi leur attente et compte bien la satisfaire.

Par comparaison, d’autres adaptations comme The Last of Us se déroulent dans un futur ravagé par des spores fongiques où la nature a repris le dessus. Ce projet bénéficie d’une plus grande liberté créative, car il n’est pas une simple adaptation, mais une œuvre autonome située dans le même univers. La série Fallout, quant à elle, dépeint un monde post-apocalyptique après des années de guerre nucléaire et de radiations.

Todd Howard, le PDG de Bethesda, a préféré développer une nouvelle histoire plutôt qu’une simple adaptation. Les visuels de Fallout sont principalement constitués d’effets réels et pratiques. L’acteur Walton Goggins y incarne d’ailleurs un Goule.

Les effets pratiques et le maquillage étaient très répandus au début de l’ère du cinéma, mais ont perdu de leur pertinence avec l’arrivée des effets visuels modernes. Néanmoins, pour un genre comme la science-fiction, la combinaison des deux peut être très efficace. La présence de structures artificielles dans la bande-annonce, par exemple, a été subtilement améliorée en post-production.

Moten raconte que chaque jour était une nouvelle expérience différente et malgré les défis rencontrés, le produit final est à couper le souffle. Fallout offrira une histoire originale qui élargit la trame narrative et le résultat visuel semble aider à soutenir cette ambition.

Les fans de n’importe quelle franchise peuvent être très critiques et examiner les adaptations dans les moindres détails. Le réalisateur Jonathan Nolan a bien pris conscience de ce défi. Moten, pour sa part, était ravi de voir à quel point l’armure assistée paraissait réelle, comme si elle avait été directement tirée du jeu pour être intégrée dans la réalité.

Le département de production joue un rôle crucial pour véhiculer l’ambiance du jeu. Chez Prime, on est bien conscient de l’impact de cette série de jeux et de l’amour des fans pour celle-ci. L’objectif est d’adapter Fallout en action réelle de la manière la plus fidèle et visuellement précise possible.

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